J’aime à penser qu’ici Même les pierres du souvenir Que l’on pose en s’embrassant Flottent à la surface. Et tu me vois désolé Que la ville tienne debout, Sans souci de celles qui Par un commerce phréatique S’en sont allées Vivre en mer. Sans te guigner plus De nos tranchées et de nos doutes Tu ressembles aux créatures Marines qui nous accompagnèrent Hier de l’étrave à la poupe. https://fredericbenque.com/2016/11/27/un-jour-sans-aujourdhui/
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